Dont la théorie m’a semblé d’une simplicité biblique,
Comme le communisme…
(Vos gueules, les abrutis, le communisme n’a jamais été appliqué, seulement détourné, bafoué…
contrairement au capitalisme qui a montré ses limites sans être détourné)
Et surtout, ce qui m’a plu
C’est qu’il refuse cet aphorisme imbécile :
La démocratie est le pire des systèmes… à part tous les autres
Ce genre de raisonnement borné, fini
Laisse supposer qu’il n’y a plus rien à espérer
A entreprendre, à chambouler
Nous sommes (presque) tous d’accord pour dire
que le capitalisme a échoué
et qu’il est auto destructeur
(Comment prôner la croissance éternelle sur une planète finie ?
Franchement, il faut être con !!! ou malhonnête, cochez la case qui vous correspond – on peut cocher les deux !)
Ce parasite a pillé l'héritage de Charlie Hebdo, fait un procès stalinien à Siné, a quitté le navire qui coulait (Charlie a perdu la moitié de ses lecteurs grâce à Siné Hebdo), pour devenir le
laquais du nabot
Cet escroc qui a oublié que l'humour était sensé être son gagne-pain
roupille dans un bureau à signer les oukases du frictateur
Dès demain, je n'écouterai plus les matinales de France Inter
Si vous pouviez en faire autant et persuader deux de vos amis à vous imiter...
Quand Jack a inventé le concept, il était question de sortir un vieux biniou poussiéreux que tata
Margot avait rapporté de sa Bretagne natale avant de crever dans la maison de retraite des marguerites…
C’est devenu la rente de gros porcs de musiciens dignes de jouer au foot
Mais il semble que – crise aidant - le mouvement s’inverse
Et qu’on pourrait revenir à la musique pour tous
Ce soir, je vais empocher mes harmonicas et tester le changement
En attendant, faites la fête
Oubliez le foot, la retraite et les connards quelques heures
Demain il fera jour pour se souvenir que le cauchemar n’est pas un rêve
Mais une réalité
Où tous ces salopards qui nous demandent des sacrifices
Car il faut résister, le nazi ayant été remplacé par le mafieux financier
Voici donc ma contribution :
« Les salauds qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des fortunes françaises, ont formé
un gouvernement.
Ce gouvernement, alléguant la crise et la mondialisation, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour
cesser le combat.
Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force financières, lobbyiste et mafieuse, de
l'ennemi.
Infiniment plus que leur nombre, ce sont les manipulations, les mensonges, les accords secrets qui nous
font reculer. Ce sont la corruption, le bourrage de crâne et le spectacle incessant qui ont amené nos chefs là où ils en sont aujourd'hui.
Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle
définitive ? Non !
Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour les d’en
bas. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.
Car les d’en bas de France ne sont pas seuls ! Ils sont partout les d’en bas ! Ils ont un
vaste Empire derrière eux. Ils peuvent faire bloc avec les d’en bas d’Asie, d’Afrique et d’Amérique et utiliser sans limite l’immense pouvoir des peuples.
Cette guerre économique n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est
pas tranchée par la frictature française. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les
moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force financière, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force solidaire supérieure. Le destin du monde est
là.
Moi, Rachien de rien du tout, actuellement à Lalbenque, j'invite les d’en bas et les d’au milieu, où
qu’ils se trouvent, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les chercheurs, les humanistes, les vrais philosophe (couché BHL !) à se mettre en rapport avec moi.
Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra
pas.
Demain, comme aujourd'hui, j’écrirai des conneries sur over. »
Ta gueule ! Bonjour tu me dis… tu crois qu’il est bon ce jour ??? trou du cul sans fond ! Les racailles avaient raison, t’es un gros naze !
…
Oh ! Ducon, t’es là ?
Oui, Maître.
Tu vas me foutre le camp de ton palace, connard ! Sinon, je t’envoie mes bouchers pour te crocheter, te couper les couilles et je te fais enculer par Vilpingre.
Oh non, mon despote, pas les couilles !
Tu risques rien, t’en as pas ! Je vais t’expliquer, moule de mes deux, ce que tu viens de faire :
Ta putain d’équipe de négros me fout dans la merde et toi, même pas black, tu es le chef de cette bande
de singes. Grâce à toi, je vais encore perdre des points dans le thermomètre qui troue le cul des couillons d’en bas. Si tes ouistitis avaient gagné la coupe, je serais redevenu le héros que la
France attend. Et réélu en 2012, grâce à deux ou trois ballons au fond des filets du Brésil, ce pays d’enfoirés qui vend plus d’armes que mes potes du CAC… Mais tes bonobos sont des p’tites bites
sur un terrain de foot. Juste bon à faire tirer leurs putes, comme s’ils n’avaient déjà pas assez de fric. Je vais m’occuper d’eux, Baison va les renvoyer dans leur pays de crasseux… et toi, t’as
pas intérêt à croiser mon chemin, parce que je te détruis.
Tu veux que je te dise, espèce de larve de caniveau, au deuxième but, ma pute a éclaté de rire, et m’a
dit : « putain, ils sont aussi petits que toi », puis elle s’est foutue à poil et a ouvert la fenêtre en grand pour montrer son cul à la France d’en bas. Un garde du corps est venu
la protéger des agressions, puis il l’a enfilée, comme chaque soir de défaite électorale…
Bon, je vais aller me refaire à Londres, au moins De Gaulle ne va pas me chier dans les bottes, aussi
grand qu’il soit, il est mort ce grand con.
Allez, Raymond, va te finir, j’envoie un pote s’occuper de ta femme.
Toute façon, avec ta gueule de cocu, tu me feras pas croire qu’elle va pas voir ailleurs si tu n’y es
pas.
Je compte sur toi, j’achète le journal de lundi, j’espère y lire ton suicide en première
page.
:
Refuser le tout financier
la pensée unique
la gouvernance inique
la dictature du fric
la flicaillerie universelle
écrire, jouer, échanger sur ces thèmes.
Les utopies sont les réalités de demain (Victor Hugo)