L’affaire Éric Beurk est exemplaire :
On ne parle pas du problème de fond,
Des ministres corrompus jouent les vierges effarouchées,
Se portent garants, accusent les journaliste courageux qui osent affronter la dictature des milliardaires
L’accusé attaque Eva Joly,
C’est ubuesque : c’est Al Capone qui attaque la justice…
Le parallèle entre notre gouvernement et les voyous de l’équipe de France
Est de plus en plus évident :
On ne demande ni aux uns ni aux autres des résultats
Ils puisent dans la caisse, font des caprices, s’indignent qu’on ose les critiquer
Ce sont les signes réitérés d’une société délétère qui s’enrichit en piétinant le peuple.
Beurk !