L’an dernier,
Le nabot déclarait :
« Maintenant, quand il y a une grève, on ne s’en aperçoit plus »
Ce qui est doublement dégueulasse :
- Il se réjouit d’avoir détruit le droit de grève.
-
« ILS » ne s’en aperçoivent plus, EUX, contrairement au peuple
Parce que le Français de base, lui, peine dans les transports, sacrifie une journée sans salaire
Ce genre de saloperie est à l’origine de la lassitude de nombre d’entre nous :
Les grèves deviennent improductives.
Et je viens d’avoir une idée de réforme :
Une grève est l’issue d’un conflit non résolu.
Comme dans un couple, si le malentendu n’est pas soluble
On peut estimer que les torts sont partagés.
Alors partageons les inconvénients :
Quand La SNCF se met en grève, le PDG n’est plus payé, le temps de la grève
Quand le nabot passe en force un projet contesté, déduisons de sa paye les jours de grève
Sans oublier de faire participer les ministres concernés.
Quand une banque demande l’aide des contribuables, le patron voit son salaire plafonné au SMIC,puisqu'il a été incompétent (je
préfèrerais qu'il soit viré !)
Ses primes sont annulées, sa retraite chapeau résiliée…
Car les patrons voyous ne se gènent pas de licencier pour faute lourde, afin que le licencié perdent tous se droits...
Un peu d'équité... messieurs les réformateurs
Vous ne pouvez pas être contre la réforme
Je suis persuadé que frapper là où ça fait mal changerait les comportements « décomplexés » de tous ces connards !